§2. Première partie : à partir du biochart. Montré le "Quizz" : image muette . Qui, quoi ? comment ? (remémoration des éléments factuels concernant) le "Biochart" de Priestley. XVIII° siècle. Intension. § 3. question "combien de directions significatives ?" La question n'est pas comprise. les réponses vont de 2 à 3.Explication de la notion de direction significative. Dans le cas proposé : une seule : indiquée par la flèche du "temps qui passe". avant/ après antérieur/postérieur est traduit graphiquement par à gauche de/à droite de. la verticale n'est pas utilisée significativement. la position d'une forme (point ou ligne) à tel niveau hoizontal plutôt qu'à un autre ne signifie rien de particulier, la postion dan s cette dimentionest arbitraire.§ 4. utilité de cette logique de représentation :: remarque : elle n'a pas été inventée pour faire de la démographie.
ce qui n'empêche pas que ce soit une logique de visualisation simple très facle à lire (parce que justement une seule dimension est significative) qui possède toutes les caractéristiques pour faire rendre sensible la notion de population. § La dimension fondamentale de l'objet population, c'est cette dimension temporelle. Permet de visualiser la population comme ensemble continellement renouvellé d'individus. permet de clairement différencier les notions d'élément d'un ensemble et d'individu appartenant à une population. (diiférence de traitement graphique).§ 5. Notion d'information implicite dans les données utlisées pour construire une représentation et qui est révélée, rendue sensible, visible par la représentation. Dans le schéma biographique : les données utilisées pour la construction sont les dates de naissance et de décès des auteurs (cf. exercice 1). Le tracé révèle la disparité de durées de vie. Utilité de la visualisation des données : fonction de "révélation de" relation sous-jacentes aux données. Ici durée de vie = date de naissance moins date de décès. La longueur des lignes de vie est "par construction" une traduction graphique des durées de vie. §6. Figuration des données démographiques utilisant deux dimensions significatives. reprise synthétique de exercices faits en TD ex. 2/3 - ex. 5/6 et ex 10). Les trois caractères fondamentaux selon lesquels sont décrites et analysés les données démographiques : Quand ? ...., A quel âge .... quand est né ..... Il existe un lien fonctionnel entre ces trois déterminations : en connaître deux permet de déterminer la troisième. Les exercices ont présente les trois manières de visualiser les données démographiques en fonction de deux des caractères, trois logiques de visualisation. Dans chacune une troisième dimension est significative : du troisème caractère. reprise de chacun des trois exercices, chacun représentant un mode de visualisation : ex. /3 : deux dimensions : horizontale : moment de naissance / verticale : âge au moment de l'événement. la troisième dimension est diagonale - système du "lexis - ancen ou original". ex 5/6 : moment du décès x âge au décès. Système type "Lexis moderne". La troisième dimension diagonale est associée au moment de naissance. ex 9 : la dernière des associations possibles : moment de naissance et moment du décès, la troisième dimension diagonale correspond à l'âge. question "où sont les points naissance" = où est le niveau d'âge = 0 ? §7. A propos des difficultés observées dans le td d'hier à propos de l'exercice 9, des conversations particulières m'ont permis un certain nombre d'observations dont je rends compte : le "mauvais geste" de tracé des axes qui limites ( à notre insu) la possibilité de penser et de voir. tracer un "coin", d'un seul trait et mettre des flèches au bout : en quoi cela limite l'space de la représentation à un quart, une portion de l'espace graphique disponible. Alors qu'il faudrait percevoir et penser l'ensemble de la feuile comme doublement orineté, et doublement significatif. Pire (mais non discuté dans le cours quand on inscrit "automatiquement le zéro" quand il n 'a aucune raison de s'y trouver. Montré l'importance de l'explicitation du sens donné aux axes (si elle est absente) la figure est illisible. Montré tout ce qu'on peut supprmer : "et si on enlevait le coin, et effacer progressivement un peu de l'axe, en en grogotant jusqu'au bout ... il reste la flèche. proposé qu'écrire la signification conférée à l'axe et le curronner d'une pointe de flèche suffit. Montré que l'association de valeurs se traduit dans un tableau par le fait qu'elle sont sur la même ligne, la traduction grapique de cette assiciation est la superposition. Montré que chaque dimension siginificative la la disposition des informations selon cette direction sont séparées. § série de transparents. Sur chacun on écrit le nom du caractère, dans une couleur, suivi d'une flèche. Sur chacun on montre qu'une modalité se traduit par la situation à un certain niveau de l'axe l'association de deux modalités se traduit par la superpostion des deux transparents, l'intersection des deux niveaux. Montré qu'un fois deux transparents superposés, la situation du troisième est unique, déterminée.§ 8. Présentation de la chronologie historique (TRSP) et des fac similés des visualisations élaborées entre 1870 et 1880, par des auteurs tous de langue allemande. Mise en correspondance des logiques de visualisation étudiées dans les trois exercices et les auteurs qui ont proposé un type de visualisation. Le problème de la désignations Diagramme de Lexis "a misnomer". complément aux articles de Ch. Vandeschrick : présentation d'ouvrages de la période 1955-1965 en France : où l'on voit que dans le manuel de formations à la méthode statistique de l'insee (19954) le diagramme de Lexis est encore véritablement un diagramme de Lexis. Henry 1962 (Cours polycopié à l'IDP et à la même époque Pressat (il faudrait recherche la première édition de 1958 du Pressat) présentent tous deux le diagramme comme un repère, tout commence avec le "tracé de deux axes ..."/ On verra (la prochaine fois" que la conception que Brasche de son schéma est plus large, il invite explicitment à se représenter mentalement un espace qui dépasse les lmites de ce qui est tracé - et que aucun axe n'est tracé ce qui pourrait passer pour un axe est plutôt la délimitation de la marge d'un tableau . La figure de Zeuner "fait peur". Pourquoi ? pas encore répondu _ il faudrait revenir (peut-être quand on lira le texte de Brasche) sur le fait que la figure de Zeuner est un stéréograpmme, alors que dans les autres, comme Brasche le dit la taille des zones est "bedeutungslos". Montré en dernier lieu le Lexis 1880 : semis de points de densité variable. § 9. conclusion sur l'abord qu'il faut avoir devant une visualisation: le nom, on l'a vu n'importe pas, les conventions peuvent changer - parfois sans que cela résulte d'une décision - (anecdote de Pressat ). chaque fois la responsabilité de repérer quelle signification est affectée aux deux dimensions de l'espace graphique, et d'en déduire les interprétations des configurations qu'on peut y voir. § 10. Annonce du travail détaillé sur le schéma de Brasche l semaine prochaine.
§ 11. Plusieurs étudiants demandent que les transparents soient publiés. Les installer dans l'archive Lexis. installer des liens .
ESSAI D'UN LIEN VERS UN DOCUMENT PDF De l'ARCHIVE LEXIS :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire